Meilleurs vœux 2019

Je vous souhaite à tous une très bonne  année avec beaucoup de joie d’amour de douceur  et la réalisation des vœux qui vous sont les plus chères. 

Je vous souhaite de manifester de la gratitude pour tout ce que vous avez.

Je vous souhaite aussi de la manifester cette gratitude pour vous-même, pour  ce que vous êtes

pour tous les êtres qui vous entourent, pour ce qu’ils ont de meilleur en eux.

Cette année en numérologie, nous sommes en année 3.

Le 3 c’est la communication

C’est la joie de l’enfant.

C’est peut-être le moment de communiquer avec toutes les parties de vous-même.

Et pourquoi ne pas privilégier votre enfant intérieur. 

Profitez de cette année 2019 pour couper tous les liens qui vous empêchent d’être en symbiose avec votre enfant intérieur.

Pour cela  branchez-vous sur lui, méditez, utilisez : le reiki, la sophrologie, l’E.F.T. les bonhommes allumettes, ne pas oublier O’ohponopono et autres techniques.

Cela vous permettra de faire grandir la joie en vous, et autour de vous. Plus il y aura de la joie plus elle se transmettra, c’est comme un virus.

La rencontre reiki aura lieu le

Mardi 8 janvier 2019

Comments

[Boulet]

Je voulais proposer une traduction personnelle de la poésie de F. Dezeuze. mais je suis très maladroit dans mes tentatives de trouver le pavé commentaire correspondant, de franchir l'épreuve CAPCHA.Je m'y perd, ce parcours du combattant n'est plus de mon âge.


Les Olives, Branches d’Yeuse, François Dezeuze alias  « l’Escoutaïre » (Montpellier, 1871-1949)
Par une belle journée d’octobre, quel plaisir de cueillir l’olive encore verte. Tu vas grimper sur les branches, dans l’arbre. Tel un oiseau, noyé parmi les feuilles, tu les entendras, bercées par le garbin * qui les froisse, chanter leur petite musique et tu ressentiras le plaisir que l’air pur de notre ciel accorde à qui le respire.
Vite ton petit sac se gonfle du fruit, doux au toucher, replet et ferme, tel un marbre. Si, d’aventure, une brindille sèche t’égratigne, essuie d’un baiser la perle de sang.
Plus tard je te vois devant la jarre ronde. Avec la cuiller percée, de façon que s’en écoule la saumure, tu puises une bonne poignée d’olives salées. Auprès d’un feu vif d’yeuse, avec tes collègues, en attendant le plat d’escargots, tout à la discussion, tu te rinces les gencives.
Et c’est ton régal de revoir l’arbre où, en sifflotant, tu as récolté les olives, gai comme un étourneau de passage.

* Garbin : vent de la côte méditerranéenne, frais et agréable, soufflant du sud-ouest. Frédéric Mistral suggère un rapprochement très incertain avec le provençal  « maugarbin » = maghrébin, le vent barbaresque, le vent du couchant.